Chers lecteurs,
Le printemps est à nos portes, les
jonquilles fleurissent et les candidats à
la présidentielle aussi… Nul doute que
les places doivent être bonnes, à voir
tous ceux qui se bousculent pour accéder aux places de pouvoir.
Mais quel que...
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Chers lecteurs,
Le printemps est à nos portes, les
jonquilles fleurissent et les candidats à
la présidentielle aussi… Nul doute que
les places doivent être bonnes, à voir
tous ceux qui se bousculent pour accéder aux places de pouvoir.
Mais quel que soit celui ou celle qui sera élu, il va falloir que cela
change et dans le bon sens : celui des électeurs !
Comme dit la chanson de Boris Vian «Messieurs qu’on nomme
grands», il va falloir une véritable révolution dans l’organisation
de notre société si vous ne voulez pas que ceux qui vous élisent
s’en chargent.
Finies les belles phrases, les promesses que l’on
ne tient jamais, les citations apprises par cœur, les poignées de
mains et les bises de circonstance…
Il va falloir gouverner pour ceux qui vous ont élus tout simplement
mais, étant intelligents, vous avez sûrement déjà compris.
Il suffit simplement d’inverser les tendances : que les très riches
soientunpeumoinsriches,quelespluspauvressoientbeaucoup
moins pauvr
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